
Mon art
Je suis Limen, illustratrice à l’encre et à la pointe fine, dompteuse de lignes nerveuses et écorchées. Entre le corps et l’esprit, je trace des contours qui hésitent, se brisent, se recousent, se réinventent. Mes dessins, souvent en noir et blanc griffonné, s’ouvrent parfois à l’aquarelle, comme un soupir de couleur dans un monde trop pâle.
Dans mes carnets, les silhouettes se tordent, les âmes se dénudent, les anatomies se déconstruisent. Tim Burton m’offre ses ombres, Egon Schiele ses corps fébriles, Robert Combas son chaos coloré — je les invite à ma table pour gribouiller avec moi ce qu’on ne sait pas toujours regarder en face.
Je croque l’étrange, le poétique, le trash, ce qui gratte sous la peau.
« Si mon trait tremble, ce n’est pas la main : c’est le cœur qui éternue. »
Chaque dessin est un petit théâtre où les lignes cassées redessinent des corps inquiets, des esprits fatigués, des histoires sans paroles. Bienvenue dans mon univers : fragile, grinçant, vivant.
Je suis [ton nom d’artiste], dompteuse d’encre noire et d’esprits cabossés. À la pointe fine, je trace des corps qui trébuchent, des âmes qui zigzaguent, des lignes qui se cassent la figure avant de renaître ailleurs — plus tordues, plus libres.
Mes dessins sont des balades entre le visible et ce qu’on n’ose pas trop montrer. Les silhouettes s’y froissent, les regards s’effilochent, les côtes se désaccordent et les cœurs battent de travers. Le noir et blanc grince, l’aquarelle saupoudre ses hématomes de couleur comme pour dire : “Hé, même les ombres aiment se maquiller.”
Tim Burton glisse sous mes traits ses ombres boiteuses, Egon Schiele y dépose ses chairs inquiètes, Robert Combas y jette ses cris bariolés. Et moi, je brode, je gribouille, je réinvente des anatomies imaginaires : des corps aux lignes brisées, des esprits qui débordent, des bizarreries qui dansent.
Mon univers ? Un cabaret de traits tremblants, un théâtre de lignes perdues, un cirque de silhouettes un peu cassées mais terriblement vivantes.
« Mes dessins, c’est comme un verre de trop : ça titube, mais ça dit des vérités. »

Mon parcourt artistique
Mon chemin a commencé dans les plis d’un tissu : une école de mode, où j’ai appris à dompter les étoffes, à faire parler les coutures, à faire danser les patrons. Puis j’ai troqué les aiguilles pour des crayons, les mannequins pour des esquisses, en plongeant dans une école d’arts plastiques. Là, j’ai joué avec les techniques, j’ai trituré les matières, j’ai griffonné jusqu’à trouver ma propre voix — ou du moins un souffle un peu bancal, un peu grinçant, qui ne cesse de chercher.
Depuis 2020, je me tiens à l’encre, à la pointe fine, au trait tremblé. À chaque dessin, je gratte un peu plus la surface, j’invente des histoires qui se glissent entre les lignes brisées, les silhouettes torses, les âmes mal alignées.
« Je redessine des corps comme on raconte des secrets : à voix basse, un peu de travers, pour que ça résonne plus fort. »
Chaque illustration est un petit théâtre d’os cassés et de rêves bancals, un endroit où les lignes prennent la tangente et où l’imparfait devient poétique.
Nouveauté
Cartes à planter
Des dessins qui poussent, des cartes qui fleurissent, des graines d’imaginaire à semer.
Voici mes cartes inédites : des dessins originaux de plantes, tracés à la main, sur un papier que je fabrique moi-même avec amour et bouts de patience. Un papier fait de fibres recyclées, de petits secrets déchirés et surtout... de graines cachées, prêtes à éclore. Coquelicots, cosmos, fleurs des champs : mes cartes attendent juste un peu de terre, un peu d’eau et beaucoup de curiosité.
À offrir comme un bouquet, à planter comme une promesse, à garder comme un petit jardin sur papier.
Chaque carte est unique : un trait d’encre, une idée de nature, un espoir qu’on sème.
« Entre les lignes, ça germe déjà. »

Les impressions
Je vous propose mes illustrations imprimées, fidèles à l’encre de leur naissance.
Chaque dessin est une histoire suspendue, un fragment d’imaginaire à accrocher, offrir, ou simplement poser là, quelque part, pour qu’il vous chuchote ses secrets.
- Format carte postale (A5), pour glisser un petit morceau d’univers dans votre quotidien.
- Format (A3), pour laisser les lignes courir sur vos murs et redessiner l’espace.
Noir, blanc, un souffle d’aquarelle pour réveiller les ombres : mes dessins s’invitent chez vous, pour faire danser les silhouettes et tordre les contours du réel.
« Offrir un dessin, c’est semer un doute joli sur ce qu’on croit voir. »
Les toiles
Chaque châssis est fabriqué à la main, avec du bois qui a déjà vécu, qui a déjà porté des clous, des rêves, des échardes. Les toiles ? Coupées dans des draps de coton ou de lin, des draps qui ont abrité des sommeils, des secrets, des batailles contre l’insomnie. Je les tends à la main, je les apprivoise, et dessus, j’y déverse mes traits : des corps cabossés, des esprits à la dérive, des lignes cassées qui cherchent leur chemin.
Ce sont des grands formats — pour que les silhouettes aient la place de s’étirer, de vaciller, de danser de travers.
Du noir, du blanc, des éclats d’aquarelle comme des bleus au cœur.
Mes toiles, ce sont des fenêtres ouvertes sur un monde un peu tordu, un peu bancal, mais toujours vivant.
